Aménagement sous-escalier : pour quelle fonction ?

Si votre maison dispose d’un escalier pour faciliter l’accès à l’étage, vous pouvez utiliser l’espace vide se trouvant en dessous pour le transformer en un espace de rangement. En effet, ce volume vous permettra de stocker bien des choses. Si vous ne savez pas à quoi un sous-escalier pourrait vous servir, on vous donne quelques idées. (suite…)

Comment choisir un mastic carrosserie voiture ?

L’application d’un mastic de carrosserie est une étape essentielle si vous voulez réussir votre travail de peinture. Utilisé correctement, il peut aider à dissimuler les petites imperfections au niveau de la carrosserie, à lisser les panneaux et à créer des lignes droites au laser. Voici quelques pistes pour choisir le mastic adapté à votre carrosserie.

Le type de mastic

A part les travaux d’aérogommage, vous aurez besoin de mastic pour le traitement de carrosserie. Il en existe plusieurs, et chaque type de mastic a une fonction spécifique. Pour vous aider à choisir le mastic adapté, voici les spécificités de chacun.

Les mastics de carrosserie renforcés

Les mastics de carrosserie renforcés contiennent du métal ou de la fibre de verre pour plus de solidité. Ils peuvent combler les petits trous et ajouter de la rigidité aux panneaux de carrosserie. Ils sont généralement utilisés comme première couche sur les soudures, les petits trous ou pour les travaux de carrosserie lourds.

Mastic de qualité supérieure

Les mastics de qualité supérieure sont tous exempts de taches et sont plus fins. Ainsi, vous devrez appliquer plus de couches pour les travaux de carrosserie importants. Ils sont souvent étiquetés « premium ».

Le glaçage polyester

Les glaçages au polyester peuvent être utilisés pour combler les rayures et les très petites bosses. Ils peuvent être appliqués sur du métal nu, de la fibre de verre, d’autres produits de remplissage. A noter que les glacis polyester nécessitent généralement un durcisseur.

Mastic de finition

Le mastic de finition est prêt à l’emploi. Il ne doit être utilisé que pour combler des rayures légères dans le mastic de carrosserie ou les revêtements durcis. Il est très fin et se rétracte s’il est appliqué en trop grande quantité.

Facilité d’application et de ponçage

Le mastic de carrosserie doit être facile à appliquer et à étaler, ce qui permet d’obtenir une surface régulière et homogène. En outre, il doit faciliter le processus de ponçage, sans avoir à appliquer une pression excessive ou à effectuer plusieurs étapes de ponçage. Le temps de réparation s’en trouvera réduit.

Niveau de résistance aux contraintes de compression et de traction

Parfois, si le micronage de la couche appliquée est excessif, en cas de contrainte de compression ou de traction, la couche de mastic et les couches de finition de la peinture peuvent se fissurer ou s’écailler. Le concept de « niveau d’usure » du mastic, c’est-à-dire le nombre de fois qu’il peut supporter la même contrainte mécanique sans se détériorer, est également important.

Le niveau d’adhérence

Le mastic polyester doit avoir une bonne adhérence au support. Il est essentiel d’utiliser le mastic de carrosserie approprié pour chaque surface, car chaque type a ses propres caractéristiques pour optimiser l’ancrage et l’adhérence aux différents matériaux.

Les caractéristiques

Avant de choisir un mastic de carrosserie, il est à noter que les mastics ne fournissent généralement pas de protection contre la corrosion du métal. Pour qu’ils remplissent cette fonction, vous devez d’abord appliquer un apprêt anticorrosion. En outre, le mastic ne peut pas faire office d’apprêt pour les peintures de finition car, après le ponçage, vous devez appliquer une couche d’apprêt qui fera office de couche isolante et d’ancrage.

Telles sont les principales caractéristiques que doit présenter un bon mastic de carrosserie :

  • Une faible porosité et une élasticité optimale.

  • Un mastic de qualité ne doit pas générer beaucoup de pores lors de son application, ce qui minimise les irrégularités de la surface.

Si vous voulez effectuer des travaux de réparation, vous pouvez contacter une entreprise spécialisée dans des travaux de rénovation.

pompe

Foire aux questions sur la pompe vide-cave

La pompe vide-cave est un appareil qui vous aide à assécherune pièce, lors d’un dégât des eaux. Elle peut aussi être utilisée pour vider une piscine. Mais qu’est-ce qu’une pompe vide-cave et comment s’en servir ? Voici tout ce que vous devez savoir.

Qu’est-ce qu’une pompe vide-cave ?

Également appelée pompe immergée d’évacuation, la pompe vide-cave est une pompe d’aspiration constituée par un moteur, un flotteur, un raccord et des ouvertures. Ces dernières doivent être assez larges pour éviter que des débris ne s’accumulent dans la pompe. Par ailleurs, la pompe est aussi munie d’une poignée pour faciliter son utilisation. Souvent faite en acier inoxydable, la pompe vide-cave ne rouille pas, même lors d’une immersion prolongée. Enfin, elle est disponible en version manuelle et électrique. Pour le modèle électrique, le câblage est intégralement isolé pour éviter d’éventuels accidents.

À quoi peut servir une pompe vide-cave ?

Une pompe vide-cave peut aspirer une grande quantité d’eau. De ce fait, elle peut être utilisée lors d’un dégât des eaux, par exemple. En outre certains modèles peuvent être utilisés pour vider une piscine ou d’autres réservoirs. Vous devez juste bien choisir le modèle adapté à vos besoins. Enfin, une pompe vide-cave s’utilise également pour le drainage d’un toit plat.

Quels sont les éléments qui constituent une pompe vide-cave ?

Le boîtier de la pompe

Fait en plastique ou en acier inoxydable, le boîtier est un composant essentiel de la pompe vide-cave. Ce dispositif comporte le corps de pompe, la crépine et le moteur. Il sert également de raccord pour le tuyau d’évacuation.

Le corps de la pompe

Pour commencer, le corps de la pompe est incorporé dans le boîtier de l’appareil. Il est constitué d’un vortex qui assure le pompage et le refoulement de l’eau. En fonction des modèles, il existe différentes sortes de corps de pompe. Tout d’abord, vous avez le modèle monocellulaire. Il fonctionne avec une seule turbine. Il y a ensuite le corps de pompe dit multicellulaire. Il est constitué par plusieurs turbines et assurent un débit plus important. Il peut aussi être associé à plusieurs conduits.

La crépine

La crépine est un filtre disposé dans le boîtier. Il évite que les débris ne s’infiltrent dans le corps de la pompe. Il assure ainsi la durabilité de l’appareil.

Le moteur

Le moteur de la pompe est alimenté par un courant électrique par le biais d’un cordon. Intégré dans le boîtier, il est protégé par une membrane étanche. Par ailleurs, il assure la puissance de pompage de l’appareil. Cette dernière peut varier de 300 à 1 500 W, en fonction du modèle. Enfin, le moteur et le cordon sont entièrement isolés, pour une utilisation sécurisée.

Le flotteur

Le flotteur est un dispositif qui permet un démarrage automatique de la pompe vide-cave. Aussi, il existe deux types de flotteur. Vous avez le modèle à bras qui se déclenche en fonction du niveau de l’eau. Il y a ensuite le flotteur à fil. Dans ce cas, le flotteur est lié au moteur par un câble isolant. Il déclenche le circuit électrique en fonction du niveau de l’eau et la pompe se met en marche. L’appareil s’arrêtera automatiquement quand le flotteur sera en position horizontale. Cela signifie que le niveau de l’eau est relativement bas. Par ailleurs, certaines pompes vide-cave ne disposent pas de flotteur.

Combien coûte une pompe vide-cave ?

Le prix d’une pompe vide-cave peut varier en fonction de sa puissance. Pour une pompe de 300 W, vous aurez à payer environ 35 euros. Si vous préférez une pompe de plus de 1 000 W de puissance, vous allez payer environ 85 euros, voire plus.

En bref, la pompe vide-cave est utilisée pour drainer des surfaces closes, mais elle peut être utilisée pour les toits plats. Il vous suffit juste de bien choisir le modèle avec la puissance adaptée. Enfin, pour vous procurer du matériel de pompage de qualité, contactez l’entreprise MPA à Saint-Gilles.

Quel matériau choisir pour ses menuiseries extérieures ?

Avez-vous un projet de rénovation ou de construction en cours ? Avez-vous déjà une petite idée des matériaux que vous allez utiliser pour vos menuiseries extérieures ? Cela tombe bien, nous allons vous éclairer sur le sujet. Les finitions extérieures de la maison donnent de l’attrait à une maison. Les portes et les fenêtres doivent être ainsi en accord avec la décoration et l’aspect extérieur de votre demeure. Voici une sélection de matériaux de menuiseries dont vous aurez besoin.

Différents types de matériaux en vente sur le marché

Afin d’affiner votre choix, nous allons mettre en lumière les avantages et les inconvénients de chaque matériau de notre liste.

1- Le PVC, un classique dans le monde de la menuiserie

Les menuiseries en PVC sont souvent utilisées pour revêtir les portes et les fenêtres des maisons. Le prix en est la raison principale puisque ce produit est le meilleur en terme de rapport qualité-prix.

Pour avoir une finition soignée du travail, sollicitez les services d’un expert en bâtiment tel que COSTA DEL ONDA, siégeant à Lecci, en Corse. Cette entreprise est notamment spécialisée dans la pose de menuiserie extérieure.

Atouts :

  • léger ;
  • prix abordable ;
  • coloris sobre et polyvalent ;
  • excellentes performances phoniques et thermiques.

Esthétique :

  • sujet aux rayures : difficiles à réparer ;
  • peu attrayant mais il existe aujourd’hui des modèles munis de panneaux décoratifs.

Inconvénients :

  • peu résistant aux chocs ;
  • non-adéquat en matière de sécurité ;
  • très salissant, il accumule la poussière ;
  • durabilité moyenne car il ne supporte pas les alternances de températures.

2- Le bois, une matière intemporelle

La menuiserie en bois apporte une touche rustique et chaleureuse à une maison. Il a l’avantage d’être personnalisable à souhait.

Atouts :

  • anti-poussière ;
  • matériau robuste ;
  • multiples possibilités de finition ;
  • s’adapte à tous les styles de décoration ;
  • bonne performance phonique et thermique ;

Inconvénients :

  • prix de vente élevé ;
  • nécessite un entretien régulier ;
  • moins résistant aux changements climatiques.

3- L’aluminium, un matériau moderne

Aujourd’hui, l’aluminium orne les bâtiments commerciaux. Ce matériau peut moderniser la façade de votre logement et lui donner un côté industriel.

Atouts :

  • produit recyclable ;
  • résistant face aux intempéries ;
  • nécessite très peu d’entretien ;
  • compatible avec les surfaces vitrées ;
  • muni de rupture de pont thermique : barrière contre le froid ;

Inconvénients :

  • prix de vente assez cher ;
  • faible isolation phonique ;

4- L’acier, une matière modulable

L’acier a pris d’assaut les ornements des menuiseries extérieures. C’est un matériau modulable et très résistant. Votre logement aura une allure moderne et contemporaine grâce à sa texture.

Atouts :

  • bon rapport qualité-prix ;
  • résistant face aux chocs ;
  • grande durabilité dans le temps ;
  • excellente réflexion lumineuse ;
  • grande diversité de finition, comme par exemple l’acier laqué ;

Inconvénients :

  • nécessite un traitement régulier anti-rouille.

5- Les matériaux mixtes

L’association de deux matériaux est toujours une bonne idée. Par exemple, en combinant le bois et l’aluminium la faible durabilité du bois peut être rattrapée par la durabilité de l’aluminium.

5-1- Le bois et l’aluminium

Atouts :

  • design contemporain ;
  • excellent apport de luminosité ;
  • matériau personnalisable en terme de couleur ;

Inconvénients :

  • coût élevé ;
  • consommation d’énergie élevée : production et recyclage.

Choix du type d’ouverture

Si vous avez arrêté votre choix parmi ces différents types de matériaux, il vous reste à opter pour l’ouverture idéale de votre logis.

Voici quelques suggestions qui pourraient faire l’affaire :

  • Pour les portes-fenêtres coulissantes, choisissez un modèle fabriqué avec deux panneaux en verre, encadré d’une armature en acier ou en aluminium.
  • Pour l’ouverture à la française, optez pour un modèle courant constitué d’un ou de deux battants pouvant s’ouvrir soit de l’intérieur, soit de l’extérieur.
  • Avec l’ouverture oscillo-battante, adoptez un modèle possédant une ouverture partielle. Ce type d’ouverture offre une excellente aération.

Aérogommage : principe et prix

Plusieurs techniques s’offrent à vous en matière de nettoyage de façade, parmi lesquelles l’aérogommage. Toutefois, tous les professionnels dans le domaine ne pratiquent pas forcément cette technique. En suivant cet article, découvrez le principe et le prix de l’aérogommage avant de prendre une décision.

Le fondement de l’aérogommage

Par opposition à la technique d’hydrogommage, l’aérogommage utilise l’air comprimé à basse pression pour nettoyer la façade. En effet, celui-ci permet de projeter de l’abrasif sur la surface à traiter. L’abrasif peut être d’origine végétale ou minérale. Quoi qu’il en soit, il élimine parfaitement les tâches, les couches de peinture et de vernis sans laisser de traces ni altérer le support.

Par rapport aux autres méthodes de nettoyage de façade, l’aérogommage s’adapte à tout type de support. Vous pouvez aussi vous en servir pour le nettoyage de plafonds, de murs et même de petites surfaces telles que les objets ou les meubles. C’est une technique qui est également utilisée dans différentes opérations : nettoyage de rouille sur une surface métallique, décapage de boiseries avant traitement, décapage de clôtures métalliques, décapage de surface peinte, etc. Réalisé à partir de l’abrasif naturel, l’aérogommage est une technique respectueuse l’environnement. Il ne vous reste plus qu’à sélectionner une entreprise spécialisée dans l’aérogommage telle que FRIGOUT pour mener à bien les travaux de nettoyage de façade. L’établissement s’occupe entre autres des travaux de peinture industrielle et de grenaillage. Il peut travailler pour le compte des professionnels et des particuliers dans différents secteurs : industrie, agricole, céréalier, viticole, etc.

Le coût de l’aérogommage

L’aérogommage est une méthode de nettoyage de façade facile à réaliser. Vous pouvez donc très bien vous en occuper vous-même. Pour ce faire, vous n’avez qu’à acheter de l’abrasif. Pour un sac de 25 kg, comptez en moyenne entre 25 et 50 . Vous pouvez aussi opter pour l’achat d’abrasif au kg dont le coût se situe entre 1 et 2 le kilo, en fonction de la granulométrie de votre choix. Vous devez également vous procurer une aérogommeuse. Son prix tourne autour de 2 000 en fonction de ses performances et de ses capacités. Pour bénéficier d’un appareil impeccable, ce prix peut aller jusqu’à 8 000 . Cependant, s’il s’agit d’un usage occasionnel, mieux vaut opter pour la location journalière qui coûte aux environs de 200 .

Par contre, si vous confiez la réalisation de l’aérogommage à un professionnel, prévoyez entre 20 et 50 par m². Ce tarif inclut déjà la pose, la fourniture, la préparation de la surface et le nettoyage. Sachez que le prix de l’aérogommage dépend aussi du type et de la taille de la surface à traiter. Voici quelques estimations :

  • Pour l’aérogommage de chaise ou d’une jante, comptez entre 20 et 30 la pièce.
  • S’il s’agit de l’aérogommage de volet, le prix oscille entre 20 et 40 .
  • Dans le cas d’un meuble, le prix de l’aérogommage tourne autour de 50 à 100 .

Pour ce qui est du traitement de grande surface, mieux vaut demander un devis auprès d’un professionnel.

Quoi qu’il en soit, le prix de l’aérogommage dépend de plusieurs critères : de la surface et du type de support à traiter, de l’état de la surface, du niveau de difficulté d’accès au support à traiter et du matériel utilisé pour l’opération.

Bref, l’aérogommage est avant tout une technique de nettoyage de façade. Toutefois, elle peut également servir au décapage de plusieurs supports. Par conséquent, son prix est variable. Pour éviter tout désagrément, il est conseillé de demander un devis pour connaître le coût réel des travaux à réaliser.

Plafond suspendu : en plâtre, en PVC ou en bois ?

Le plafond constitue l’un des éléments les plus importants d’une maison. En principe, c’est la surface constituant la partie supérieure d’une maison ou de toute structure couverte. Le plafond d’une maison est d’une importance capitale. En effet, en plus de jouer un rôle technique important, il fait également office d’élément décoratif à part entière. Et en parlant de ses qualités décoratives, les décorateurs proposent un large choix de finitions pour le plafond. Parmi ce lot, le faux plafond, appelé également plafond suspendu, acquiert un succès retentissant auprès des consommateurs.

Focus sur le faux plafond

Le plafond suspendu ou le faux plafond est un plafond situé sous le plafond principal. Le plafond suspendu est composé de plaques de plâtre accrochées au plafond à l’aide d’une structure métallique, qui est elle aussi fixée à l’aide de suspentes ou vissée sur des solives en bois. Comme on l’a évoqué précédemment, le faux plafond remplit un double rôle : il s’agit à la fois d’un élément décoratif en raison des différentes finitions possibles ; il joue également un rôle pratique en servant de support pour les travaux d’isolation. Mais en plus de ces deux fonctions, le faux plafond peut également remplir des tâches supplémentaires.

L’utilité du plafond suspendu

Tout d’abord, le plafond suspendu vient recouvrir le plafond existant. Celui-ci peut être endommagé, trop haut, ou encore mal isolé. En recouvrant le plafond d’origine, il permet de diminuer la hauteur de la pièce en donnant une meilleure harmonie à l’espace intérieur. C’est d’ailleurs une option très appréciée durant l’aménagement des cuisines ou des salles de bains. Il joue également un rôle de réducteur de bruits en étant une structure désolidarisée du plancher. Et enfin, le faux plafond peut être utilisé pour camoufler les câbles électriques, les câbles réseau, ou encore les installations encastrées comme l’éclairage ou les VMC.

Matériaux pour plafond suspendu

Bien que le plâtre soit le matériau le plus utilisé pour la conception du plafond suspendu, il existe également d’autres matières avec lesquelles il peut être façonné à l’instar du PVC ou encore du bois. Chaque matériau a ses propres spécificités et le choix se fait donc selon les dispositions appropriées.

    • Le plâtre

Le plâtre est sans doute le matériau sous lequel on voit généralement les plafonds et les faux plafonds. L’utilisation du plâtre ne résulte pas d’un hasard puisqu’il s’agit d’un matériau permettant une excellente isolation thermique et phonique. Léger, il présente également une belle finition et peut être soumis à des traitements comme l’hydrofuge ou l’ignifuge. Le plâtre utilisé est généralement sous forme de plaques pouvant être fixées sur une structure ou directement installées sur les solives du plancher porteur.

    • Le PVC

Le PVC est de plus en plus utilisé pour la conception de plafonds suspendus. Il s’agit d’un matériau présentant une bonne poignée de qualités mécaniques. En effet, le PVC est hydrophobe : il résiste donc très bien à l’humidité. Il est également imputrescible et possède une résistance avérée face aux chocs et aux produits d’entretien. Il possède aussi un fort potentiel décoratif puisqu’il est disponible en plusieurs couleurs différentes. Comme le plâtre, la plaque de PVC peut être fixée sur une structure ou sur les solives du plancher. Cependant, concernant le tarif, il s’avère que le PVC soit un peu plus onéreux que le plâtre.

    • Le bois

S’il y a un matériau capable de refléter parfaitement l’élégance et la praticité, ça serait sans doute le bois. Le bois est un matériau naturel et polyvalent, ce qui justifie son utilisation dans différents domaines. Concevoir un faux plafond en bois donne donc à une pièce une ambiance confortable et chaleureuse. Excellent isolant, le bois est également un matériau léger et écologique. Les essences de bois utilisées peuvent être variées selon les goûts du propriétaire et de l’environnement des lieux. De plus, on a la possibilité d’effectuer diverses finitions comme le vernis, la cire, l’huile ou encore la peinture. L’installation d’un faux plafond en bois suit à peu près les mêmes principes que les deux précédents.

Quand faire appel à un terrassier ?

La première opération à réaliser sur un chantier de construction est le terrassement. Cette tâche doit être effectuée par un professionnel du nom de terrassier. Celui-ci a pour mission d’aménager le terrain, pour qu’on puisse édifier le bâtiment, la piscine ou la maison. Il effectue également le creusement des fouilles pour les tranchées, les fondations de la voirie et des réseaux divers, le nivellement de surfaces, la mise à niveau du sol, etc. Focus sur le métier du terrassier ! (suite…)

Climatiseur mono-Split, multi-Split et gainable : lequel choisir ?

500 000 climatiseurs ont été vendus en 2017 en France. Cet appareil de climatisation se vend comme des petits pains surtout lors de la période de canicule. Pour que le climat dans votre logement reste rafraîchissant, le choix du climatiseur réversible est important. Aujourd’hui, cet article vous présentera la différence entre un climatiseur mono-bloc et multi-bloc.

Le climatiseur mono-split

Cette version est la plus connue parmi les appareils de climatisation réversible. Un appareil est de type « split » quand il est constitué de deux unités : l’unité extérieure et l’unité intérieure. La première unité se compose d’un compresseur, d’un échangeur extérieur lié à un ventilateur et d’un détendeur. La seconde unité est constituée d’un échangeur et d’un ventilateur qui refroidisse et/ou chauffe l’air selon les besoins.

Avantages

À l’aide de ce système, vous avez la possibilité de climatiser une seule pièce. Vous pouvez aussi installer un appareil mono-bloc dans chaque pièce de votre maison. Ainsi, en cas de défaillance de l’unité extérieure, les autres pièces équipées ne seront pas affectées par la panne.

Son installation demeure simple, car elle correspond à toutes les configurations. Le technicien en climatisation doit tout simplement effectuer des travaux de raccordements entre les unités intérieures et le bloc extérieur.

Inconvénients

Installer plusieurs climatiseurs mono-bloc demande la pose de nombreuses unités extérieures. L’esthétique de votre maison sera, de ce fait, gâché. Concernant le côté pratique, ce n’est pas la bonne option non plus.

Le climatiseur multi-Split

Quant au climatiseur multi-bloc, il s’agit également d’un système « split » mais qui possède plusieurs unités intérieures. Deux à quatre split peuvent être raccordés à une seule unité intérieure. Pour un besoin spécifique, le chauffagiste peut même proposer 5 split.

Intérêts

Le principal atout d’un climatiseur multi-Split est qu’il peut climatiser plusieurs pièces en même temps. Le chauffagiste doit tout simplement raccorder plusieurs unités intérieures au groupe extérieur. Comme chaque unité est équipée de sa propre télécommande, vous êtes libre de régler différemment la température de chaque pièce.

Que vous ayez un logement de plain-pied ou un logement à étage, l’installation de cet appareil se fait toujours en toute flexibilité.

Inconvénients

Le coût d’acquisition de ce type de climatiseur constitue son principal point faible. Il oscille entre 2 000 et 10 000 euros. De toute évidence, ce prix varie suivant le modèle, les options intégrées, le niveau de puissance, les performances énergétiques et d’autres facteurs.

Le climatiseur gainable

Ce modèle demande à être gainé. En d’autres termes, les conduits distributeurs doivent être cachés dans une sur-cloison ou dans un faux-plafond. Son fonctionnement est similaire à celui du split mural. Il est, alors, composé d’une unité extérieure servant à évacuer l’air chaud et d’une unité intérieure servant à rafraîchir le logement.

Toutefois, il est envisageable de mixer les différents types d’unité intérieure : un split dans le salon et une unité intérieure gainable dans la chambre à coucher.

Intérêts

Très performant, ce modèle rencontre un franc succès dans l’univers des climatiseurs réversibles de par sa discrétion. En étant presque invisible, cet appareil se remarque uniquement par sa seule bouche de soufflage. Elle se marie parfaitement avec la décoration intérieure de votre maison tout en vous fournissant un confort thermique inégalable.

Inconvénients

Le premier point faible de ce modèle est que vous devez avoir un espace sous-combles pour la pose de l’unité centralisée et des gaines. Il disconvient à certains types de logements. En effet, il est plus approprié aux nouvelles constructions et aux maisons de plain-pied en réhabilitation. Vous devez aussi prévoir le détalonnage des portes et des grilles afin d’empêcher la suppression d’air. Au bout du compte, l’installation d’un climatiseur gainable coûte plus cher que les autres modèle.

Pour prendre la bonne décision, votre spécialiste en climatisation vous sera d’une grande aide.

Le polycarbonate et le panneau isolant : toiture de véranda

La toiture de votre véranda peut être conçue en polycarbonate ou en panneau isolant. Quel que soit le matériau que vous choisissez entre les deux, vous n’aurez aucun regret. Toutefois, avant de faire votre choix, il est important que vous ayez une idée des spécificités et avantages de chacun de ces matériaux. À ce propos, découvrez ci-dessous les détails.

Le polycarbonate et ses avantages

Fabriqué à base de polymère thermoplastique, le panneau en polycarbonate est un matériau translucide. Il est disponible en diverses épaisseurs et dimensions. En raison de ces propriétés, le polycarbonate est très souvent utilisé dans les projets de revêtement de véranda. C’est d’ailleurs l’un des matériaux de construction que proposent les entreprises telles que EURL BATIMENT MULTI SERVICES AUBERVAL, etc.

Avec le polycarbonate, votre véranda présente une transmission de lumière très particulière. En réalité, il transmet plus de lumière que les autres matériaux utilisés pour la construction de toitures de véranda. Les plaques en polycarbonate sont des matériaux très flexibles. Ainsi, lors de la construction de la toiture de votre véranda, vous pouvez facilement les modeler en plusieurs formes. C’est également l’occasion pour faire des conceptions créatives et personnaliser votre construction.

Comparé à certains matériaux de construction de toiture de véranda, le polycarbonate est très résistant face aux chocs. Grâce à cette solidité, vous pouvez facilement faire le transport et le montage des plaques. Aussi, celles-ci sont moins susceptibles de se briser dans les zones sujettes au gel, aux fortes chutes de glace, aux balles de golf, etc.  Hormis leur résistance, les panneaux en polycarbonate ont une durée de vie qui va de 10 à 15 ans.

Voici entre autres les différents types de plaques polycarbonate que vous pouvez choisir pour le revêtement de votre toiture de véranda :

  • le polycarbonate alvéolaire ;
  • le polycarbonate compact ;
  • le polycarbonate emboîtable ;
  • le polycarbonate nervuré ;
  • le polycarbonate ondulé.

Le coût d’installation de ces types de panneaux en polycarbonate est plutôt avantageux et pas coûteux du tout.

Le panneau isolant et ses avantages

Le panneau isolant est également un matériau généralement utilisé pour la construction de toitures de véranda. Il est beaucoup apprécié en raison de ses multiples propriétés. Que ce soit avec une tendance en velours ou bien d’autres encore, celui-ci donne de très bons effets. Le panneau isolant est en réalité un composite en monobloc qui vous permet de recouvrir et d’isoler la toiture de votre maison.

Généralement utilisé pour la toiture de véranda, ce matériau de construction est composé de quelques couches parmi lesquelles on a deux couches de parement et une couche d’isolement. Le matériau que voici n’est rien d’autre qu’un système tout-en-un. Son installation est très rapide et facile. En raison de sa solidité, il résiste très bien aux chocs et ne demande pas beaucoup d’entretien. Avec le panneau isolant, découvrez une très bonne performance en matière d’isolement grâce aux larges possibilités de style et de finition qu’il vous offre.

Que ce soit avec une peinture minérale ou encore une autre forme de style, le panneau isolant se fond toujours dans votre décor. Trouvez sur le marché des panneaux isolants de type :

  • laine minérale ;
  • polyuréthane PUR ;
  • polysocyanurate PIR, etc.

Faites donc votre choix en fonction de vos besoins et de votre goût.

Installation d’une toiture de véranda en polycarbonate ou en panneau isolant

Pour construire une toiture de véranda en polycarbonate ou en panneau isolant, il faut tout d’abord que vous obteniez une autorisation de la mairie de votre région. Cela doit être fait avant que vous ne commenciez les travaux. Ensuite, optez pour des modèles dont les dimensions respectent celles de votre toiture. Aussi, choisissez un papier peint dont les couleurs peuvent bien s’entremêler avec celle de votre panneau isolant. Cependant, il est primordial que vous fassiez appel à un professionnel du domaine afin que le travail soit bien fait et sans accident afin de durer dans le temps.